Article de Lionel MAILLARD
Gros plan sur
le stress
Selon l’Agence européenne Européen Agency for Safety and Health at Work, le coût du stress est estimé à environ 20 Milliards d’euros par an. En France, selon l’INRS sur une population active de 23,53 millions de personnes, 1 % à 1,4 % sont touchées par une pathologie liée au stress professionnel. Devant ces chiffres alarmants, des questions se posent : quels sont les symptômes, les manifestations les plus fréquents du stress ? Est-ce un phénomène de société ? Quels milieux sont les plus touchés ? Quelles sont les différentes phases de ce fléau ? A-t-on fait des recherches à ce sujet ? Peut-on en guérir ou traiter ? Telles sont les différentes questions qui trottinent dans la tête face à ce phénomène grandissant. Diverses réponses à vos questionnements sont compilées dans cet article.
Les symptômes les plus fréquents
D’une manière générale, les symptômes du stress sont classés en quatre catégories qui sont les symptômes cognitifs, les symptômes émotionnels et relationnels, les symptômes physiques et enfin, les symptômes comportementaux.
Les troubles qualifiés cognitifs peuvent présenter des problèmes de mémoire, avoir du mal à prendre des décisions, à se concentrer. D’une manière générale, ils sont pessimistes, ils sont constamment inquiets et on s’aperçoit qu’ils ont perdu leur objectivité et leur jugement.
Du point de vue émotionnel et relationnel, les stressés sont irritables, impatients. Mais les symptômes les plus souvent cités sont leur incapacité à se relaxer, à se laisser aller. Ce sont des boules de nerfs ambulantes qui présentent un sentiment de solitude, de dépression, de tristesse et d’anxiété. Une soudaine agressivité inexpliquée peut également apparaitre. Quoiqu’il en soit, souvent les stressés ont perdu leur sens de l’humour, de l’estime de soi. On note également comme symptôme la diminution de la libido.
Maux de tête, du dos et/ou de l’estomac sont les symptômes physiques classiques notés chez les stressés. Mais on retient également les tensions musculaires, la nausée, la diarrhée ou une constipation. Il arrive également que les symptômes du stress sont : l’insomnie, une impression de fatigue, des douleurs dans la poitrine, une perte ou une prise de poids, de la démangeaison ou un rythme cardiaque rapide.
Enfin, les symptômes comportementaux peuvent être un abus d’alcool, de cigarettes ou de médicaments relaxants. Les stressés peuvent également avoir envie de manger beaucoup ou n’avoir aucune envie. Certains dorment beaucoup trop, d’autres beaucoup trop peu. Une procrastination, une fuite des responsabilités, une suractivité en sport ou en stockage, ou encore en achats compulsifs effrénés ; une réaction démesurée face à des problèmes imprévus ainsi que des tics nerveux sont aussi des symptômes comportementaux du stress.
Phénomène de société, où ? pourquoi ?
Il y a cinquante ans passés, on disait « Le travail, c’est la santé ! ». Mais actuellement, il faut reconnaitre que cet adage n’est plus tout à fait vrai. Maintenant, la société et l’univers du travail mettent l’individu sous pression continuelle, tout va très vite qu’il subit un niveau de stress inégalé. En effet, dans le monde actuel, les exigences et les challenges auxquelles nous sommes confrontés tous les jours, nous exigent d’être toujours et encore plus performants, d’aller au-devant dans tous les domaines, que ce soit professionnel, famille, couple, … Ces situations sont régulièrement stressantes car elles produisent de véritable tension, du stress ou encore de l’anxiété que nous devons gérer quotidiennement. Selon divers articles à grand tirage, les raisons qui poussent la moitié des patients à consulter un médecin seraient directement ou indirectement liées au stress.
Le stress que nous subissons vient surtout de nombreux phénomènes émanant de la société d’aujourd’hui, comme une intensification du travail pour augmenter la productivité ; la recherche de la perfection ; le culte de la compétition ou les problèmes à concilier le travail, la vie personnelle et la vie familiale sans oublier le changement radical des valeurs et des normes sociales que l’on peut constater ces dix à vingt dernières années. Personne n’y échappe : les hommes comme les femmes ou les enfants. Les riches ou les pauvres, les travailleurs ou les chômeurs. Tout le monde y passe mais à différents degrés.
Par ailleurs, depuis l’apparition des téléphones mobiles, nous sommes devenus joignables en tout temps. Ce qui a entrainé un nouveau type de stress : le « stress numérique ». Ce stress numérique est plutôt l’apanage des professionnels des milieux où la concurrence est cruelle, particulièrement le monde financier, les secteurs de la communication et du juridique. Les conséquences de ce nouveau type de stress peuvent pousser les travailleurs à bout. Car, souvent, le travail ne s’arrête plus à 17 h. Il les suit les soirs et les fins de semaine. Bien que ce soit parfois utile, cela peut devenir vraiment insupportable. Cette intrusion du travail a des répercussions sur la vie familiale. Les repas en famille sont souvent écourtés et le stress, toujours présent. On a l’impression qu’il n’y a plus de début ni de fin. Tout le monde admet qu’on n’a pas le choix.
Il y en a qui adore cela ! Pour eux, déconnexé le téléphone à 5 h est inconcevable dans un monde constamment en mouvement car il est super important d’être connecté. Selon un sondage publié en 2013, 53 % des employés consultent leurs courriels professionnels durant la fin de semaine, 54 % durant leurs journées de maladie, 44 % pendant leurs vacances. Devant ce phénomène grandissant, dans son nouveau code du travail, la France a inscrit le droit de refuser de répondre aux appels et aux courriels professionnels en dehors des heures de travail.
– Les milieux où on trouve la plus grande proportion de personnes stressées,
Le stress est souvent le coupable de notre manque de motivation, de concentration, d’efficacité, de performance, de réussite … Un excès de stress favorise les accidents du travail, l’absentéisme, le mal être…. C’est un fléau qui engendre l’instabilité, l’irritabilité, les échecs et même des pertes en productivité.
Le stress touche 4 salariés sur 10. On note une réelle augmentation dans les catégories supérieures (47%) et pour les cadres supérieurs (57%). 9 cadres sur 10 se déclarent être plus stressés aujourd’hui qu’il y a dix ans. Les salariés des PME sont moins affectés par le stress que ceux des grandes entreprises. Pour l’OMS, la France arrive au 3° rang des pays recensant le plus grand nombre de dépression liées au travail.
Si on accepte que le suicide soit l’extrême forme de symptôme de stress, selon les statistiques, le secteur présentant le taux le plus élevé est celui de la santé et de l’action sociale. La profession la plus touchée est le métier de policier où la France se trouve en troisième place du taux de suicide des jeunes policiers de moins de 36 ans non préparés « au stress particulièrement intense » du métier. Les musiciens, les acteurs et les danseurs de ballet ainsi que les écrivains et photographes sont les métiers culturels les plus touchés par rapports aux comédiens ou animateurs. Tandis que le secteur de métier le moins touché par le stress est la catégorie d’ouvrier non spécialisé.
Les différentes phases de développement du stress
En 1975, Hans Selye a présenté qu’il existe 3 phases dans la réaction au stress
plan d'action stress
Phase d'alarme
C’est la première phase du processus de stress. Durant cette phase, toute ton énergie se prépare pour réagir, tous tes sens sont en alerte, tes forces de défense sont mobilisées. On note l’apparition des premières manifestations : augmentation des battements cardiaque, augmentation de la tension artérielle, boule à la gorge ou à l’estomac, anxiété, angoisse… Ces réactions sont possibles grâce à la libération d’hormones (ex. l’adrénaline) dont le rôle est de préparer le corps à une action rapide.
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Phase de resistance
Cette seconde phase, la résistance, est le processus d’adaptation au stress. Cette étape va permettre de préserver l’organisme de l’épuisement en compensant les dépenses énergétiques occasionnées pour faire face au stress. D’autres hormones (ex. glucorticoides) sont sécrétées permettant d’accroitre le taux de la glycémie nécessaire à l’organisme, au cœur, au cerveau et aux muscles. En quelques mots, durant la phase de résistance, tu consommes tes réserves d’énergie.
Durant cette phase, certains se préparent à affronter le stress, d’autres appliquent la politique de « l’autruche » et continuent à vivre comme si de rien n’était ou alors évitent les situations pouvant le provoquer.
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Phase d'épuisement
C’est le stade ultime du stress ! Débordé et sollicité en permanence par la situation de stress qui se prolonge et s’intensifie, les mécanismes de défenses sont dépassés. L’organisme a consommé toutes ses réserves d’énergie. Résistances et tensions se mettent en place jusqu’à l’épuisement entrainant des problèmes de santé (envie de rien, déprime, états dépressifs…). L’organisme ne peut plus faire face aux agressions, il craque. Les réserves psychiques et biologiques sont épuisées.
C’est pendant cette phase d’épuisement que certaines pathologies apparaissent forçant l’arrêt de la frénésie de l’organisme.
Les différences entre les femmes et les hommes
Dans le domaine du stress, l’égalité homme/femme est acquise ! Le stress n’a pas de sexe, mais il n’a pas d’âge non plus. Cependant, le père de famille, de 30 à 50 ans, soumis à une charge de travail et à des responsabilités lourdes dans le cadre professionnel est le profil type de la victime de burn out (syndrome d’épuisement professionnel). Tandis que les femmes, elles expriment plus facilement leurs soucis et leur anxiété. Alors, elles gèrent souvent leur stress dans l’échange et la complicité amicale. Elles consultent aussi plus facilement pour demander un secours médical et sont plus réceptives aux méthodes de relaxation (yoga, sophrologie…).
Certains chercheurs pensent que le système hormonal féminin réagit mieux aux poussées de stress. Et que les hommes seraient plus exposés à l’hypertension ou aux ulcères liés au stress.
En France, on a constaté que 36% des femmes contre 21% des hommes travaillent à un niveau de stress vraiment élevé, mettant en danger leur santé. 19% des travailleurs souffrent d’anxiété et 4% d’état dépressif.
Chez l’enfant, le stress génère de l’insomnie et des troubles de l’humeur, et il est très facilement somatisé en migraines et douleurs abdominales.
– Qu’est-ce que le stress ? quelles sont ses différentes manifestations ?
Même si le mot stress fait peur, il faut admettre que le stress est un phénomène naturel et utile. Il regroupe les répliques de l’organisme soumis à des pressions ou des contraintes occasionnées par son environnement. Pour cela, il fait mobiliser l’énergie nécessaire à libérer pour retrouver un équilibre approprié. Il résulte d’un sentiment d’être dépassé ou de ne pas avoir le contrôle face à une situation éprouvante. Il traduit une difficulté d’adaptation.
Souvent, le stress apparait quand l’organisme fait face à un changement de situation brutale. L’organisme réagit contre ce qu’il perçoit comme une agression ou une pression. Chaque individu réagit de façon personnelle et adaptée à un évènement qu’il considère comme traumatisant. Le stress est une réponse à tout type d’agression : infection, pathologie organique, symptôme isolé, ou problème d’ordre psychiatrique. Le stress correspond souvent à des tensions provoquées par des conflits personnels non résolus.
Le stress peut être épisodique ou parfois quotidien devenant alors un véritable handicap. Il peut être passager mais peut également se prolonger de façon chronique. Un stress prolongé peut mener à un épuisement psychique et physique qu’il peut être un déclencheur de diverses maladies, comme les maladies cardio- vasculaires, l’eczéma, la migraine… Le stress dû au travail, le surmenage et le burn out sont les premières causes d’arrêt de maladie, en France.
Par ailleurs, les manifestations du stress sont différentes qu’il soit violent ou non. Ses manifestations varient également selon les personnes qu’il touche. Chacun a souvent « son ou ses symptômes propres ». Pour certains, c’est la migraine ou les maux de tête, pour d’autres, ce sera l’eczéma ou des insomnies. Certains individus stressés peuvent également ressentir de la fatigue comme manifestation d’un stress chronique. Noter que l’interprétation, aux événements stressants de la vie, est très importante car elle détermine la durée et l’intensité des effets multiples.
On regroupe généralement les manifestations perceptibles et réelles en cinq classes : le stress intellectuel, le stress comportemental interne ou externe, le stress physiologique ou physique, le stress psychologique ou moral et le stress social ou psychosocial.
Il est intellectuel quand il réduit la capacité du stressé à résoudre les problèmes, à se remémorer à court terme, à réduire sa concentration, à déformer sa pensée, …
Le stress est comportemental quand on constate que le stressé a une agressivité physique ou verbale, une conduite compulsive, un désintéressement de l’emploi du temps. Quand il lui est impossible de se détendre ou de dormir, quand il fait manque d’initiatives, etc.
Le stress physiologique se manifeste par des douleurs gastriques ou musculaires, des, des infections urinaires ou visuelles, de la fatigue ou maux de tête, de l’arythmie cardiaque ou palpitations démesurées etc.
Le stress psychologique fait ressentir de l’anxiété, de l’incertitude ou l’inquiétude face à des choix, de l’intolérance, un regard négatif des circonstances et des gens, le sentiment d’abandon ou de rejet.
Les manifestations sociales ou psychosociales sont la difficulté de communication en couple ou en famille, la dépréciation de soi-même, le manque d’intérêt dans les relations sociales, l’isolement ou le ressentiment volontaire, etc.
– Qui a déjà fait des recherches sur le sujet ?
Le Scanff Christine, « Les différentes formes de stress et leur influence sur la performance sportive », Bulletin de psychologie, 2005.
Il est admis que le stress a de l’influence sur la performance du sportif. Pour comprendre ce phénomène, des définitions du stress sont énoncés dans cet article. Le stress biologique est le premier traité mais il présente des limites pour expliquer des facteurs de stress ou de la fluctuation interindividuelle. Tandis que le stress psychologique explique mieux la personne et ses capacités de faire face, sans pour autant parler du côté organisationnel. Enfin, le stress professionnel est celui qui explique mieux l’organisation. Tous ces types de stress ont chacun leur particularité dans la vie du sportif et dans la gestion du stress.
Jean Marc Weller, « Stress relationnel et distance au public. De la relation de service à la relation d'aide », Sociologie du Travail, 2002
Tiré d’une étude sur le travail d’accueil des militants d’une importante association de lutte contre le sida, le présent article relate les tensions relationnelles des métiers de contact, plus particulièrement aux théories que les militants mobilisent pour donner sens à ces tensions. Ces théories renvoient à des approches consacrées du « stress relationnel » et de l’épuisement des intervenants d’aide (burn out). De là, l’auteur propose un autre point de vue qui explique mieux l’épreuve du public et le réglage de la distance.
– Lien avec d’autre maladies ou phobies
Quand on parle de stress et ses conséquences, toute une liste de maladie vient à l’esprit. Le stress peut déclencher certaines maladies de peau (ex. eczéma). De plus, le mal de dos et tensions musculaires peuvent être des signes du stress. De même, les angines, herpès, grippe sont plus fréquents chez les personnes stressées. Une chute de cheveux chez l’homme comme chez la femme est possible quand la personne est particulièrement exposée au stress. Impuissance ou absence de désir peuvent être interprétées comme un stress sous-jacent. Toutefois ATTENTION : Toutes ces manifestations peuvent également être les signes d’autres maladies. Seul votre médecin pourra vous confirmer les liens entre vos symptômes et le stress.
Qelles sont les différentes approches pour gérer le stress ?
La médecine douce a fait ses preuves pour traiter le stress. Parmi, ces approches on peut noter :
La Phytothérapie : L’utilisation des plantes médicinales (ex. le millepertuis) est souvent citée comme le premier traitement phytothérapique le plus cité quand un stressé vous fait part de son état. Un naturopathe vous donnera conseil pour savoir quels produits seraient le plus adaptés à votre situation. En effet, il existe des plantes anti-stress comme des plantes adaptogènes pour raffermir l’endurance face au stress ; sans oublier les plantes calmantes qui sont censées rééquilibrer le système nerveux, pour réduire l’intensité de la réaction.
Le Massage : A court terme, on peut constater des résultats positifs comme une amélioration de l’humeur, du sommeil, des fonctions immunitaires, et une diminution de l’anxiété, du stress et de la fatigue.
La pratique du Yoga : Des tests cliniques ont montré que le yoga peut être une méthode efficace sur différents troubles, de la dépression à l’anxiété, et même pour limiter les symptômes du stress post-traumatique.
La Méditation : Des articles spécialisés montrent les bienfaits de la pratique de la méditation sur la gestion des symptômes liés aux stress et à l’anxiété. C’est en effet la relaxation profonde qu’elle offre qui attire les gens en état de stress à pratiquer la méditation.
La Sophrologie, la Relaxation : Selon les adeptes de ces méthodes, ils trouvent qu’ils acquièrent un effet bénéfique et une réduction de leur anxiété en pratiquant la sophrologie ou le biofeedback.
L’Hypnose : L’hypnose est avérée efficace pour gérer les phobies. De plus l’état de conscience obtenu sous hypnose s’apparente à un état profond de relaxation, et plusieurs études montrent une efficacité de l’hypnose dans la gestion de l’anxiété, et du stress.
En fait, dans la vie, plus on essaye de lutter méthodiquement contre son stress ou son anxiété, plus on a l’impression qu’ils s’amplifient, plus ils persistent. De même, plus vous vous contraignez à ne pas stresser et plus vous stressez ! C’est pour cela que les méthodes classiques proposées pour lutter contre le stress semblent n’être qu’un pansement superficiel qui affleure le mal sans aller en profondeur arracher la racine. Et c’est là que l’hypnose est utile ! En effet, l’hypnose permet de travailler directement sur notre inconscient quand l’hypnotiseur nous met dans un état de relaxation profonde afin de faire émerger, sans notre intervention qui, parfois, déforme la source du problème, des évènements oubliés. De là, l’hypnotiseur pourra nous libérer des tensions dues à un blocage pour nous faire sentir un moment de liberté !
L’efficacité de l’hypnose pour combattre le stress, l’insomnie, l’hypertension ou les céphalées a été avérée par différents travaux cliniques et scientifiques. En effet, une étude réalisée en Suisse en 2011 a montré que 64% des professionnels médicaux sont convaincus que l’hypnose est bénéfique pour soulager le stress subi dans leur service qui accueillait des grands brûlés. Généralement, l’hypnose permet d’appréhender la gestion du stress. Les différentes séances vous permettront d’apprendre à repérer, à vous émanciper des peurs et des éléments stressants de votre vie. Il va de soi que l’hypnose doit être pratiquée par un hypnothérapeute professionnel.
Des programmes, des méthodes sur le marché pour lutter contre le stress
Le nombre grandissant des personnes en état de stress ne cesse d’exploser exponentiellement, il en est de même pour les programmes et méthodes proposés sur le marché pour lutter contre.
Des thérapies en ligne développées par des praticiens et des psychologues existent pour donner des solutions quotidiennes comportementales et cognitives. Des coaches en gestion de stress et développement personnel vous incitent à pratiquer des programmes antistress personnalisés. On peut même trouver des formations pour apprendre à gérer son stress.
Toutefois, notre préférence va vers ce qui nous semble le plus efficace : l’hypnose. Et c’est pour éviter de tomber sur un charlatan que Lionel MAILLARD – hypnothérapeute spécialiste des addictions et des troubles du comportement alimentaire (TCA) et président des Centres d’Hypnose Anti-Tabac C.H.A.T en collaboration avec des hypnothérapeutes confirmés – a créé la plateforme d’audio thérapeutique Psychodio.com. Un éventail d’outils d’accompagnement et de traitement de stress est disponible sur la plateforme innovante et ludique www.psychodio.com.
Le portail est un centre d’échanges et de ressources pour ceux qui ont un réel besoin de soutien pour venir à bout à leur stress et apprendre à vivre normalement. Vous pouvez également y trouver des professionnels pour s’intéresser à votre cas si vous désirez des compléments par rapport aux outils audio psychodio.
Les séances audio « psychodio » (www.psychodio.com) sont des outils incontournables dans l’accompagnement et le traitement du stress.
Elles peuvent vous aider à gérer le stress et l’agitation avant et pendant la panique. L’audio psychodio va vous aider à accéder à un état de relaxation profonde et complète en situation détendue. Le tout a pour effet gérer les agressions et les pressions qui vous oppressent et de vous donner une réponse plus rationnelle et cohérence face à votre état de stress. La plateforme psychodio met à disposition outils conçus par des pros pour vous appuyer dans votre cheminement de lutte contre votre anxiété et stress.
De plus, la séance audio psychodio, que vous pouvez télécharger après commande, pourra vous apprendre quelques techniques d’autohypnose pour devancer d’éventuelles situations oppressantes. En outre, des hypnothérapeutes confirmés sont à votre écoute pour vos questionnements. D’ailleurs, en ce moment, les thérapeutes de la plateforme Psychodio.com travaillent d’arrache-pied pour créer un programme complet de traitement du stress. Ce programme complet de gestion de stress audio psychodio sera prochainement disponible.
Lionel MAILLARD.